Le Crédit mutuel vient de mettre en ligne son site "si j'étais banquier", vaste projet qui consiste à reccueillir des idées de la part des clients avec une promesse annoncée sur le site : "si j'étais banquier, je donnerais la parole à mes clients et ensemble on bâtirait la banque de demain". Donner la parole est louable, exploiter les résultats est indispensable. Rassurez-vous, j'ai laissé une idée sur le site et je compte bien suivre les résultats. Voilà donc un nouvel et énième exemple de démocratie participative appliqué à l'entreprise.
Un autre sujet à la mode : l'intervention de l'Etat. J'apprends que NOOS vient d'être mis "sous surveillance" par la DGCCRF. Il faut dire que l'ampleur des mécontentements est grande, à tel point que son Président s'est fendu de déclarations rares du type "nous présentons nos excuses à certains de nos clients". Par "certains", il entend dans les faits 26000 courriers papier et électroniques en souffrance, 6000 remboursements du dépôt de garantie de dossiers et 20000 résiliations. .. L'Etat français met donc des entreprises sous surveillance !
Deux beaux débats du moment illustrés par des cas de relation client. Mais qui saurait dire aujourd'hui l'issue de ces deux dossiers et le réèl impact sur le client ?
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